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Nom du blog :
alexpoet
Description du blog :
vivre avec son coeur
Catégorie :
Blog Poésie
Date de création :
22.11.2012
Dernière mise à jour :
13.12.2012

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· Un silence, la nuit
 

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Thèmes

belle bleu chez fond hiver moi nuit papier pensée pensées poésie sourire

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Ma lune

Publié le 13/12/2012 à 06:16 par alexpoet Tags : moi nuit belle pensée

Chaque souffrance jetée sur une nouvelle lune

Se jette sur les rayons manqués au fil des ans

Et marqué de ton souffle

Sur le mien au fil du passé

Se veulent nos baisers en souvenirs

Des années au loin caressées

Dans le silence de nos adolescences

À se toucher

Je t’aimais et je t’aime encore

Ma belle, ma douce, ma fragile et ma plus forte

Que moi

Je songe à toi endormie dans notre lit

Si longtemps interdit

Je suis à toi

Dans toutes les pénombres et

Toutes les lueurs

Je suis à toi comme au rayon de soleil

Qui conforte la peau

Je suis sur toi aux vagues de ta senteur

De l’océan qui murmure ton nom

Au soir tombé, sur la nuit

Seul, et toi tout près

Je songe à nous

Comme l’air et son respire

Qui caressent nos journées

D’hier et de demain

Ou luisent les souffles

De ma pensée

Ma Louise

Barbara

Publié le 13/12/2012 à 05:35 par alexpoet Tags : moi poésie chez

Barbara

Petite voix non loin de moi

L’autre côté d’une rue

Par la fenêtre ouverte du café

Les notes de sa voix se portent vers moi

Mes pas arrêtés sur la rue Couillard

Figé sur mon côté de trottoir

Je suis un parfait inconnu

À sa rencontre, aucun espoir

Rien ne fera approcher son regard à ma vue

Se sent t’elle seule à chanter

Entre les murs galvauder

De clients sirotant, l’œil distrait

Sur la poitrine soulever

Porter la magie de sa voix

Gaspillage

Ma beauté, je crie au silence de l’injustice

Moi

Personne ne m’entend

Et elle le crie

Larmes théâtrales Chez Temporel

Dans les effluves disparates du vieux Québec

Depuis quand mes oreilles te désirent

Sur une époque déjà,

Il en fait tout un temps

Ma grande amie, si étonnant

Que je n’aie osé franchir la porte du café

Ta voix de registre en occasion de tristesse

S’accroche sur ma routine

Et j’ai noté

Toutes tes représentations

Pour me retrouver sur la rue t’écouter

Ta voix me porte en poésie

J’en oublie le temps

Et je souhaiterais mon désir

Atteindre simplement  l’espace

De ton souffle, entre ta voix chantée

La tête tournée vers moi

Tu puisses rencontrer

Mes allés et venues

Pour toi sur la rue Couillard

une dernière moustache

Publié le 01/12/2012 à 05:23 par alexpoet

Nous y sommes,

Ils n’entendent rien,

Rien ne sert de chuchoter

Il a fait froid aujourd’hui

Mes pieds se sont pratiqués;

J’ai toujours été gauche à patiner

Elle a mis ses bras autour de mon cou

Dans le passage

Et j’ai retenu mes larmes

Dernier jour de movember

Je rase demain

Bizarre de mois

J’ai pleuré

Et j’ai trop bu

Tout le mois

J’ai arrêté  de fumer

Et je ne sais pas pourquoi

Avant hier c’était la pleine lune,

Je ne l’ai pas vu

Il neigeait

Je sens la pleine lune

Comme une mi quarantaine

Qui viendrait me courtiser

C’est bizarre

J’attends,

J’ai toujours

Détesté cet état d’être

Je sais que tourner la page

Me ramène vers mon propre personnage

Demain

premier décembre

se voir sur papier

Publié le 01/12/2012 à 05:10 par alexpoet Tags : moi travail hiver papier pensées

Un hiver s`écoule

Sur le ciel tombé

De noirceur entre mon rythme

Et l`agitation de ma tête en n`en plus finir

De rêver de celui qui,

Est dans mon cœur

Et je brise de moi-même

À ne plus rien dire

J`évoque la peur de ne rien trouver entre mon intérieur

Et ce qui s’urge de crier très fort la rage du cerveau

Par derrière une solitude de me retrouver ailleurs

Que nulle par ici en moi se cherche son berceau

Je fume d`ignorance la boucane

Sur un gîte de tempérance

Me réconforter comme hier

Dans l`enfance qui jouait son âme

Et plus le temps avance,

Je réduis les silences à n`être plus

Que des souvenirs encore trop jeunes

Pour ce souvenirs

La nostalgie ne se pêche que dans

L`étang des prises imaginaires

Je reste assis, des heures

Sur les journées après mon travail

De gagne pain

À nourrir de mes mains

Au fourneau de petits plats

Puis j`attends que me viennent des idées

A l’élan de la tête au bord de ses pensées

Je m`étale par la suite

La suite des idées

Cachées

Enfouies

Sur la sieste

De voir du papier blanc

Comme vous

À n`être que feuille

Et sans émotions

Je quitte me coucher

l'ancien temps de mon ami

Publié le 01/12/2012 à 04:54 par alexpoet Tags : sourire moi vie

J’avance tout doucement une main

Frotté et tâté pour tasser mes poussières

De ma vie tellement plate

De rien faire assis sur mon cul

Je regarde tout croche pour qu’ils ne sachent

Pas mon intérêt de vraiment être comme eux

Je fais semblant de savoir ou je vais

Quand je parle de convictions

A la conne, ma tête s’explose de vouloir

A ne savoir quoi faire pour y arriver

Et ce n’est même pas drôle

D’être aussi mêlé dans ses jeans intérieurs

Je regarde parfois leurs yeux

Ils sont méchants et ils m’ignorent

Et c’est comme si je n’existais pour personne

Parce que je suis trop out

L’autre jour j’ai acheté des nouveaux Levi’s

J’avais le cul moulé dans l’embarras

J’me sentais presque hot

Et je ne savais quoi faire

J’avais tellement le goût

En sortant de la classe

D’y toucher à

Ma prof de bio

Pis j’ai grandi

Dans le temps comme un moron

ma queue entre les jambes

Fourrer son innoncence

D’avoir peur du rejet

Moi j’peux le savoir qu’y me trouve platte

Y virent leurs yeux comme si d’autres se roulent à terre

Pis j’ai de la bouette partout  dans mon toupet

Quand ils se détournent la tête

Quand j’vais me tuer

Ils vont m’entendre hurler

Tous ces mangeux de marde

J’vais partir par la grande porte

Pierre qui roule n’amasse pas...

Publié le 01/12/2012 à 04:46 par alexpoet Tags : sourire

Ta roue qui tourne, ton tour qui roule

Ta roue qui donne un mal de tête à regarder

Ses rotations sans fin

Ta roue de BMW, ta roue de bécane

Ta roue tourne au mou

Tu gonfles et roules

Ta roue de dix vitesses

Ta roue de pneu toute saison

Tu t’écrases en roulant ton sommeil

Tu t’éveilles en faisant la moue

Sans même l’impression d’avoir traîné dans la boue

Tu reprendras au matin

Entre tes mains, sur tes lèvres, un café

Qui  ne sais même plus de son plaisir

Autrefois, te faisant sourire

Tu défileras ta volonté

Sans te faire rouler,

Et tu roules donc sur n’importe quoi

Pourvu

Qu’avance

Comme la terre

Sa rotation dans le temps

Qu’on efforce de nommer

Tu enfourches ta moto

Passe son auto

Et arrête à une lumière

Tout roule au vert

Au cardio vasculaire

Au bio diesel

Électrique

Cilyndré, pompe

Ta roue

Qui se dégonfle.

Rêve y donc, et

Ne te laisse pas rouler !

oh! je t'en pris

Publié le 01/12/2012 à 04:27 par alexpoet Tags : fond nuit

 

Sur une couche anodine, au fond du bruit

Les Jacques Brel et ne me quitte pas

Sont tracés dans mes oreilles défaitistes

Je suis collé à ta joue,

Insouciante qui se repose

D’une nuit trop longue

La marée repartira

Sur une pleine lune décroissante

Et  les draps se sépareront de nous

Caramel de citron sur ta peau

Lisse la paume à mon nez

Je suis entre tes rêves

Conscient de l’impossible

J’arrête de rêver

Et pleurs ton départ

Les sels sur ma langue

Me porteront

Sur l’imaginaire

Je m’extorque du lit

Enfile la bottine

Et retourne

Rêver de toi au firmament

Un silence, la nuit

Publié le 22/11/2012 à 05:39 par alexpoet Tags : tes draps poésie bleu moi
Un silence, la nuit

 

Je ne parle pour rien dire

Sur celui qui m’écoute,

Je parle au silence

Je n’écoute que des verbes,

Et les mots

S’enfuient aux syllabes

De sons gesticulés

J’entends mon cœur

Vibrer au son

Je sens sa main me frôler

Le verbe

Je demeure en silence

Je l’aime

Je suis dans les nuages

Je vocifère un amalgame

De consonnes

Je suis perturbé,

Mes yeux sont fixés

Entre le bleu et le blanc

Au-dessus de ma tête

Je l’aime

Je ne suis qu’une moitié de moi

Un demi à contrecœur exprimé

Je suis injuste

Car je suis autre que moi-même

Et j’aimerais être moi,

Je touche l’herbe

Je respire

Et je ne peux répondre à une simple question

Qui es-tu?

Silence

De réverbère éteint

Sur le souffle étouffé du petit prince

Et sa nouvelle planète

Je foule les verdures des plantes

Je ne sais pas

Je hurle en silence

Pour ne jamais rien déranger

Et je tue

Par mes absences

De pas trop légers

Pour ne prononcer

Que les essentiels mots !

Je t’aime

Oui c’est cela

Je t’aime

Du bleu avec quelques blanc

Qui bouge !

Des sons qui tournent au vent

Je tends mes lèvres vers les siennes

Un son

Et le soleil se couche

La phrase se virgule de parenthèses

Pour nous revenir demain

Je m’endors dans la lune

Entre les draps empruntés à ta chaleur

Je m’excuse de refroidir ton corps

Alors que mon âme

Cherche à me revenir de quelques part.

Si moche

De se retrouver ainsi

En parfaite dysfonction