
Nom du blog :
alexpoet
Description du blog :
vivre avec son coeur
Catégorie :
Blog Poésie
Date de création :
22.11.2012
Dernière mise à jour :
13.12.2012
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Derniers commentairesà toi, ta louise, pour toujours. la femme sous les drapshttp://ch roniclesofasec ondwife.center blog.net
Par chroniclesofasecon, le 17.12.2012
je vous aime alexpoet....et tous vos poils aussi ;-)
Par La femme sous les , le 02.12.2012
Chaque souffrance jetée sur une nouvelle lune
Se jette sur les rayons manqués au fil des ans
Et marqué de ton souffle
Sur le mien au fil du passé
Se veulent nos baisers en souvenirs
Des années au loin caressées
Dans le silence de nos adolescences
À se toucher
Je t’aimais et je t’aime encore
Ma belle, ma douce, ma fragile et ma plus forte
Que moi
Je songe à toi endormie dans notre lit
Si longtemps interdit
Je suis à toi
Dans toutes les pénombres et
Toutes les lueurs
Je suis à toi comme au rayon de soleil
Qui conforte la peau
Je suis sur toi aux vagues de ta senteur
De l’océan qui murmure ton nom
Au soir tombé, sur la nuit
Seul, et toi tout près
Je songe à nous
Comme l’air et son respire
Qui caressent nos journées
D’hier et de demain
Ou luisent les souffles
De ma pensée
Ma Louise
Barbara
Petite voix non loin de moi
L’autre côté d’une rue
Par la fenêtre ouverte du café
Les notes de sa voix se portent vers moi
Mes pas arrêtés sur la rue Couillard
Figé sur mon côté de trottoir
Je suis un parfait inconnu
À sa rencontre, aucun espoir
Rien ne fera approcher son regard à ma vue
Se sent t’elle seule à chanter
Entre les murs galvauder
De clients sirotant, l’œil distrait
Sur la poitrine soulever
Porter la magie de sa voix
Gaspillage
Ma beauté, je crie au silence de l’injustice
Moi
Personne ne m’entend
Et elle le crie
Larmes théâtrales Chez Temporel
Dans les effluves disparates du vieux Québec
Depuis quand mes oreilles te désirent
Sur une époque déjà,
Il en fait tout un temps
Ma grande amie, si étonnant
Que je n’aie osé franchir la porte du café
Ta voix de registre en occasion de tristesse
S’accroche sur ma routine
Et j’ai noté
Toutes tes représentations
Pour me retrouver sur la rue t’écouter
Ta voix me porte en poésie
J’en oublie le temps
Et je souhaiterais mon désir
Atteindre simplement l’espace
De ton souffle, entre ta voix chantée
La tête tournée vers moi
Tu puisses rencontrer
Mes allés et venues
Pour toi sur la rue Couillard
Nous y sommes,
Ils n’entendent rien,
Rien ne sert de chuchoter
Il a fait froid aujourd’hui
Mes pieds se sont pratiqués;
J’ai toujours été gauche à patiner
Elle a mis ses bras autour de mon cou
Dans le passage
Et j’ai retenu mes larmes
Dernier jour de movember
Je rase demain
Bizarre de mois
J’ai pleuré
Et j’ai trop bu
Tout le mois
J’ai arrêté de fumer
Et je ne sais pas pourquoi
Avant hier c’était la pleine lune,
Je ne l’ai pas vu
Il neigeait
Je sens la pleine lune
Comme une mi quarantaine
Qui viendrait me courtiser
C’est bizarre
J’attends,
J’ai toujours
Détesté cet état d’être
Je sais que tourner la page
Me ramène vers mon propre personnage
Demain
premier décembre
Un hiver s`écoule
Sur le ciel tombé
De noirceur entre mon rythme
Et l`agitation de ma tête en n`en plus finir
De rêver de celui qui,
Est dans mon cœur
Et je brise de moi-même
À ne plus rien dire
J`évoque la peur de ne rien trouver entre mon intérieur
Et ce qui s’urge de crier très fort la rage du cerveau
Par derrière une solitude de me retrouver ailleurs
Que nulle par ici en moi se cherche son berceau
Je fume d`ignorance la boucane
Sur un gîte de tempérance
Me réconforter comme hier
Dans l`enfance qui jouait son âme
Et plus le temps avance,
Je réduis les silences à n`être plus
Que des souvenirs encore trop jeunes
Pour ce souvenirs
La nostalgie ne se pêche que dans
L`étang des prises imaginaires
Je reste assis, des heures
Sur les journées après mon travail
De gagne pain
À nourrir de mes mains
Au fourneau de petits plats
Puis j`attends que me viennent des idées
A l’élan de la tête au bord de ses pensées
Je m`étale par la suite
La suite des idées
Cachées
Enfouies
Sur la sieste
De voir du papier blanc
Comme vous
À n`être que feuille
Et sans émotions
Je quitte me coucher
J’avance tout doucement une main
Frotté et tâté pour tasser mes poussières
De ma vie tellement plate
De rien faire assis sur mon cul
Je regarde tout croche pour qu’ils ne sachent
Pas mon intérêt de vraiment être comme eux
Je fais semblant de savoir ou je vais
Quand je parle de convictions
A la conne, ma tête s’explose de vouloir
A ne savoir quoi faire pour y arriver
Et ce n’est même pas drôle
D’être aussi mêlé dans ses jeans intérieurs
Je regarde parfois leurs yeux
Ils sont méchants et ils m’ignorent
Et c’est comme si je n’existais pour personne
Parce que je suis trop out
L’autre jour j’ai acheté des nouveaux Levi’s
J’avais le cul moulé dans l’embarras
J’me sentais presque hot
Et je ne savais quoi faire
J’avais tellement le goût
En sortant de la classe
D’y toucher à
Ma prof de bio
Pis j’ai grandi
Dans le temps comme un moron
ma queue entre les jambes
Fourrer son innoncence
D’avoir peur du rejet
Moi j’peux le savoir qu’y me trouve platte
Y virent leurs yeux comme si d’autres se roulent à terre
Pis j’ai de la bouette partout dans mon toupet
Quand ils se détournent la tête
Quand j’vais me tuer
Ils vont m’entendre hurler
Tous ces mangeux de marde
J’vais partir par la grande porte
Ta roue qui tourne, ton tour qui roule
Ta roue qui donne un mal de tête à regarder
Ses rotations sans fin
Ta roue de BMW, ta roue de bécane
Ta roue tourne au mou
Tu gonfles et roules
Ta roue de dix vitesses
Ta roue de pneu toute saison
Tu t’écrases en roulant ton sommeil
Tu t’éveilles en faisant la moue
Sans même l’impression d’avoir traîné dans la boue
Tu reprendras au matin
Entre tes mains, sur tes lèvres, un café
Qui ne sais même plus de son plaisir
Autrefois, te faisant sourire
Tu défileras ta volonté
Sans te faire rouler,
Et tu roules donc sur n’importe quoi
Pourvu
Qu’avance
Comme la terre
Sa rotation dans le temps
Qu’on efforce de nommer
Tu enfourches ta moto
Passe son auto
Et arrête à une lumière
Tout roule au vert
Au cardio vasculaire
Au bio diesel
Électrique
Cilyndré, pompe
Ta roue
Qui se dégonfle.
Rêve y donc, et
Ne te laisse pas rouler !
Sur une couche anodine, au fond du bruit
Les Jacques Brel et ne me quitte pas
Sont tracés dans mes oreilles défaitistes
Je suis collé à ta joue,
Insouciante qui se repose
D’une nuit trop longue
La marée repartira
Sur une pleine lune décroissante
Et les draps se sépareront de nous
Caramel de citron sur ta peau
Lisse la paume à mon nez
Je suis entre tes rêves
Conscient de l’impossible
J’arrête de rêver
Et pleurs ton départ
Les sels sur ma langue
Me porteront
Sur l’imaginaire
Je m’extorque du lit
Enfile la bottine
Et retourne
Rêver de toi au firmament
Je ne parle pour rien dire
Sur celui qui m’écoute,
Je parle au silence
Je n’écoute que des verbes,
Et les mots
S’enfuient aux syllabes
De sons gesticulés
J’entends mon cœur
Vibrer au son
Je sens sa main me frôler
Le verbe
Je demeure en silence
Je l’aime
Je suis dans les nuages
Je vocifère un amalgame
De consonnes
Je suis perturbé,
Mes yeux sont fixés
Entre le bleu et le blanc
Au-dessus de ma tête
Je l’aime
Je ne suis qu’une moitié de moi
Un demi à contrecœur exprimé
Je suis injuste
Car je suis autre que moi-même
Et j’aimerais être moi,
Je touche l’herbe
Je respire
Et je ne peux répondre à une simple question
Qui es-tu?
Silence
De réverbère éteint
Sur le souffle étouffé du petit prince
Et sa nouvelle planète
Je foule les verdures des plantes
Je ne sais pas
Je hurle en silence
Pour ne jamais rien déranger
Et je tue
Par mes absences
De pas trop légers
Pour ne prononcer
Que les essentiels mots !
Je t’aime
Oui c’est cela
Je t’aime
Du bleu avec quelques blanc
Qui bouge !
Des sons qui tournent au vent
Je tends mes lèvres vers les siennes
Un son
Et le soleil se couche
La phrase se virgule de parenthèses
Pour nous revenir demain
Je m’endors dans la lune
Entre les draps empruntés à ta chaleur
Je m’excuse de refroidir ton corps
Alors que mon âme
Cherche à me revenir de quelques part.
Si moche
De se retrouver ainsi
En parfaite dysfonction